Luciférisme, satanisme ou philosophie ?

Il est très difficile de cerner ce qu’est le luciférisme, car le luciférisme diffuse l’idée d’une fausse lumière et il y a autant de courants lucifériques qu’il y a de lucifériens. En effet, le luciférisme ne connaît pas de dogmes, de choses imposées. Chacun fait ce qui lui plaît. Certains le considèrent comme une religion, d’autres comme une philosophie. Et en réalité, si on passe ce courant idéologique au feu de la Parole de Dieu, on n’a plus de doute : c’est du satanisme. Le luciférisme n’est qu’une inversion de la vérité qui mène à l’autodestruction. 

 

 

 

Définition du luciférisme

Ici, je vous donne la définition du monde, de ce que l’on veut vous faire croire :

Le luciférisme est une notion abstraite, considérée tantôt comme une religion avec ses rites et croyances imposés, tantôt comme une philosophie, une façon de vivre, un peu comme le satanisme de LaVeyen. Pour d’autres encore, ce sera un mélange des deux.

Dans le luciférisme, Lucifer peut être considéré comme un dieu, comme un égrégore, comme une religion, rien n’est imposé. C’est ce que l’on retrouve dans le satanisme LaVeyen qui se définit comme étant une philosophie prônant l’ego et l’adoration de Satan. Et comme Lucifer est Satan, les deux courants se rejoignent. Il est faux de dire que l’on adore Lucifer et non Satan puisqu’en adorant Lucifer on adore Satan. Les deux entités n’en font qu’une, Satan est Lucifer et Lucifer est Satan. Lucifer était le premier archange créé par Dieu, qui se rebella et qui fut chassé. En se rebellant, on l’appela l’Adversaire, donc Satan. Et à ceux qui disent que Lucifer est l’étoile du matin, la fameuse « Morning Star », c’est vrai. Mais il se rebella contre l’ordre divin, chuta et devint l’Adversaire, donc Satan. 

En Luc 10:18 on peut lire : « Jésus leur dit: Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. »

En Ésaïe 14:12, on peut lire : « Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l’aurore! Tu es abattu à terre, Toi, le vainqueur des nations ! »

Notez cette expression « fils de l’aurore », c’est l’étoile du matin. Donc, toutes ces théories que Lucifer apporterait la lumière, c’est faux. Il était le porteur de la lumière, mais il s’est rebellé, et il devint Satan, l’Adversaire. Parfois, il se montre sous son apparence angélique pour mieux tromper les hommes et il diffuse sa fausse lumière qui est un mensonge qui plaît à l’ego mais qui détruit l’âme. Il n’est plus le porteur de lumière, cette fonction, cet attribut, lui a été ôté, et c’est Jésus-Christ le porteur de Lumière, le porteur de la Vérité. 

En Apocalypse 12:7-9, on peut lire : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. »

Rappelons que l’ego est un fragment de démon, héritage du péché originel. L’ego étouffe l’âme et celui qui nourrit son ego plonge son âme dans le brouillard et bloque la communication avec Dieu. Le satanisme, comme le luciférisme sont deux doctrines qui nourrissent l’ego, afin que l’ego puisse prendre autorité dans votre esprit. Ainsi, vous devenez votre ego, vous devenez un être qui ne connaît plus la compassion, ni l’amour, complètement lié à l’autosatisfaction. Le satanisme Laveyen tout comme le luciférisme ont pour but de vous éloigner de Dieu et donc, de vous rendre morts, un corps sans vie fait uniquement de matières, puisque vous n’avez plus accès au Salut. Réfléchissez à tout cela, et prenez votre décision, choisissez entre la vie et la mort, la vie éternelle de l’âme ou l’enfer avec la mort de l’âme. 

Le luciférien considère Lucifer comme « Le porteur de lumière », une image symbolique de la connaissance, de l’illumination et de l’indépendance. Et ils se trompent fortement… On sait que certaines branches du luciférisme sont assez noires et flirtent volontiers avec le satanisme. D’ailleurs, le luciférisme c’est du satanisme déguisé. Certaines branches s’adonnent à des rites extrêmes et utilisent des ossements humains, de la chair humaine, du sang humain durant leurs rituels. Ces rituels commencent à être dénoncés. De nombreuses stars s’y adonnent, ainsi que des « élites ». Les gens ne veulent pas encore y croire, mais un jour ou l’autre, tout sera dévoilé. 

Le luciférisme est un courant littéraire peu connu, obscur, qui, contrairement au satanisme classique et au satanisme LaVeyen, ne se base sur aucun texte de référence. Ainsi, le luciférien est libre de pratiquer sa croyance comme il l’entend. Il fait ce qui lui plaît, donc ce qui plaît à son ego. Le luciférisme est un courant de pensée diffus et imprécis qui introduit Lucifer comme un « ange » de lumière, un symbole de connaissance se rebellant contre l’autorité.

 

La naissance du Luciférisme

Le luciférisme est né d’une tradition littéraire cherchant à s’affranchir des conventions d’une société perçue comme oppressante. Encore une fois, on rejoint la pensée du satanisme Laveyen et celle du satanisme classique qui prônent la liberté individuelle et le rejet de la société. Le luciférisme prône une fausse liberté, un peu comme la franc-maçonnerie. D’ailleurs, la franc-maçonnerie est d’essence luciférienne, transpire la fausse lumière luciférienne. C’est du gnostiscisme où chaque concept est inversé. Ainsi, le slogan de la République « Liberté, égalité et fraternité » auquel on a ajouté « laïcité », n’est pas pour le peuple, mais pour l’élite. Le peuple n’est pas libre, il est tenu prisonnier par des lois et par l’administration, manipulé par les médias. Il n’y a pas d’égalité, car par définition, l’égalité conduit à l’inégalité, puisque chacun de nous avons des besoins différents. Prenons l’exemple de ces deux hommes qui doivent tout deux se rendre à la ville voisine pour un examen médical. Le premier a le permis, mais n’a plus de voiture. Le second n’a plus le permis, mais possède une voiture. L’égalité consisterait à donner à chacun des deux la même chose. Imaginons que l’on donne à chacun des deux une voitures. Cela va résoudre le problème du premier, mais non du second. Maitenant, imaginons que l’on se montre équitable, c’est à dire que l’on donne à chacun selon nos besoins. Le premier reçoit une voiture, le second on lui restitue son permis. Et les deux peuvent se rendre à leur rendez-vous médical. En République, l’équité n’existe pas, on préfère l’égalité, et donc, des gens sont laissés au bord de la route. Maintenant, si la fraternité existait, ces deux hommes seraient dans une démarche d’entraide, et tous deux pourraient, ensemble, en unissant ce qu’ils possèdent, aller à leur rendez vous médical. C’est la vraie fraternité. Mais encore une fois, on a tout fait pour nous diviser, et l’entraide n’existe plus. 

L’un des plus importants précurseurs du luciférisme est John Milton et son œuvre poétique « Le Paradis Perdu ». Cette œuvre raconte la tentation qui mena Ève à manger le fruit de l’arbre de la connaissance, ce qui a provoqué la chute de l’Homme. Dans cette histoire, Milton met en scène Satan et le place au rang de héros. « Le Paradis Perdu » dresse le portrait de Dieu justifiant ses actes. Le poème décrit aussi la création de l’univers, de la terre et de l’humanité et explique l’origine du péché, de la mort et du Mal Absolu c’est-à-dire de Satan. Il aborde aussi des idées politiques de tyrannie, de liberté et de justice. Milton donne ses idées théologiques sur la prédestination, le libre arbitre et le salut. Enfin, Milton a été très influencé par la Bible, en particulier la Genèse, le livre de Job, les psaumes, le Nouveau Testament. Son œuvre a inspiré le mouvement romantique du début du XIXe siècle.

Le mythe populaire du docteur Faust et son pacte avec le Diable (représenté par Méphistophélès) ont aussi influencé le luciférisme. Dans cette œuvre, le docteur Faust signe un pacte avec le Diable afin d’obtenir des secrets alchimiques, ésotériques ou magiques. Cette version donnera le ton au romantisme allemand qu’est Goethe.

William Blake (1757-1827, artiste peintre anglais, graveur et poète préromantique) est le dernier précurseur du luciférisme et c’est lui qui inaugurera l’époque des Romantiques. William Blake a écrit de nombreuses œuvres poétiques d’inspiration chrétienne, mais très éloignées du dogme de l’Église. William Blake a écrit de nombreux poèmes, mais c’est celui intitulé « Le Mariage du Ciel et de l’Enfer » qui aura une influence sur le luciférisme. Ce poème aborde la réconciliation entre le bien et le mal et ouvre la voie au thème de la rédemption de Satan. D’où Lucifer qui se morfond et qui veut se faire pardonner en faisant le bien. C’est une des notions primordiales chez les lucifériens : Lucifer, donc Satan, est un ange du bien et souhaite se faire pardonner. Nous savons que tout ceci n’est que pure ineptie.

Dans ce courant d’idée, l’Allemagne, le Royaume-Uni et la France ont vu naître des auteurs exprimant leurs sentiments, leurs souffrances à travers leurs écrits. Le plus souvent, il s’agissait d’amour porté à une femme qui ne peut ou ne veut répondre de façon favorable aux avances ou de leurs états d’âme en choisissant des thématiques religieuses. Certains de ces auteurs, citons Lord Byron, Percy Shelley ou Hölderlin, se sont sentis comme Prométhée cruellement condamné par Zeus à un tourment éternel parce qu’il a apporté le feu (la lumière) aux hommes ou comme Satan/Lucifer rejeté de tous, car ayant apporté la connaissance aux hommes dans l’épisode biblique de la pomme d’Ève. D’ailleurs cette confusion entre Prométhée et Satan/Lucifer s’opère naturellement au fil des œuvres de ces auteurs. « Frankenstein » ou « Le Prométhée moderne » de Mary Shelley paru en 1818 ou encore « Les Fleurs du mal » de Charles Baudelaire paru en 1857, des œuvres où l’on voit clairement une pensée apparaître, une pensée désignée comme le « satanisme prométhéen » et qui désigne une exaltation du mal au sens philosophique du mal. Dans mon livre « L’influence de Satan dans l’histoire de l’humanité », j’aurais pu parler de l’influence de Satan sur ces auteurs. Cependant, cette pensée tombera vite dans l’oubli, car elle apparaîtra trop intellectuelle à cause de l’effervescence des idées politiques qui étoufferont cette pensée, notamment par l’apparition du socialisme, du marxisme.

D’un point de vue littéraire, c’est Victor Hugo qui ira le plus loin dans le thème du luciférisme, notamment dans son œuvre « La Fin de Satan », un poème épique inachevé et publié de manière posthume en 1886. Dans cette épopée, Victor Hugo se pose la question de la rédemption finale du mal, incarné par la prise de la Bastille. L’œuvre donnera le point final de cette tradition littéraire abordant le thème du mal porteur de lumière, du mal prométhéen nécessaire à l’homme pour son épanouissement. Victor Hugo abordera cette thématique, mais d’une manière moins évidente, à travers le personnage de Jean Valjean dans « Les Misérables ».

Durant la deuxième moitié du XIXe siècle et du XXe siècle, le luciférisme ne s’exprimera quasiment plus à travers des œuvres littéraires ou philosophiques. Face à l’influence politique de la pensée socialiste et l’influence intellectuelle des loges maçonniques, le luciférisme n’arrive plus à s’exprimer en Europe ou aux États-Unis. En Russie, on le retrouve notamment dans les œuvres de Dostoïevski ou Soljenitsyne.

Cependant, certains vont reprendre les idées romantiques et les adapter à un courant ésotérique naissant. C’est le cas, notamment, d’Aleister Crowley (1875-1947, écrivain, poète, occultiste, tarologue et astrologue anglais) connu aussi sous le nom de Maître Therion, Frater Perdurabo ou The Great Beast 666.

Cependant, le luciférisme a quasiment disparu à partir de la fondation de l’Église de Satan en 1966 par Anton Lavey. Ce qui est normal, puisque le satanisme Laveyen ressemble au luciférisme dans son essense et dans son idéologie. La parution de la Bible Satanique, qui ressemble au « Livre de la Loi » de Crowley, focalise l’attention des médias qui y voient la résurgence d’un satanisme médiéval. Le satanisme Laveyen a pour principe de renverser les symboles liturgiques chrétiens et de procéder à des parodies rituelles, des messes noires mêlant le sexe et la magie.

 

Lucifer ou Satan

Le sataniste ou le luciférien dira que ce sont Satan et Lucifer qui permettent de faire la différenciation entre les deux courants. Or, Satan et Lucifer sont une même et unique entité. Par conséquent, le satanisme et le luciférisme sont une unique et même chose.

Le luciférien dira que Lucifer représente le nom angélique de Satan, ou que Satan est le nom démoniaque de Lucifer. Et je suis d’accord avec lui ! Donc, adorer Satan c’est adorer Lucifer et vice versa.

Le nom Lucifer n’apparaît pas dans la tradition hébraïque et dans l’Ancien Testament. Un seul passage se rapporte à un être ou un « astre brillant » associé au roi de Babylone et non à Satan. En revanche, Lucifer apparaît au début du christianisme et désigne Jésus-Christ lui-même. C’était une hérésie qui fut vite rétablie en associant Lucifer au Diable. Et le Diable, c’est Satan !

Virgile (70 av. J.-C/ 19 av.J.-C., poète latin contemporain de la fin de la République romaine et du début du règne de l’empereur Auguste) associe Lucifer à la planète Vénus. Pour le poète, Lucifer est un dieu mineur annonciateur de l’aube. Ce n’est pas un personnage associé au diable biblique, mais un personnage de type prométhéen apportant un savoir, une connaissance à l’humain.

Et c’est de là que vient toute la difficulté d’étudier le luciférisme, puisque dans le satanisme, Satan est employé comme celui qui apporte la connaissance. On retrouve cette figure surtout chez les romantiques et leurs héritiers. Donc, on voit bien que le luciférisme est bien une branche du satanisme. C’est une forme de satanisme déguisé. Ajoutons que la plupart des francs-maçons servent Lucifer et diffusent son idéologique satanique. On peut voir sa marque dans de nombreuses lois de la République et dans de nombreuses idées politiques diffusées au grand public par les médias. 

 

Les principes du Luciférisme

Il est très difficile de définir la démarche luciférienne et d’établir précisément ses principes. Notons, cependant, quelques thèmes récurrents :

  • La célébration de la connaissance et du savoir qui permettent une meilleure compréhension du monde. Ceci est symbolisé par l’image de la lumière repoussant les ténèbres.
  • L’affranchissement de l’homme des dogmes religieux définis par les autorités religieuses.
  • La solidarité entre les hommes face à l’esclavage ou à l’arbitraire. Le luciférisme implique une égalité absolue entre les hommes, qui collaborent vers un même but. Or, nous sommes tous différents, nous avons tous nos défauts, nos capacités, nos forces et surtout notre propre ADN. Nous ne pouvons tous être égaux dans tous les domaines, cela est impossible. Ces idées entraînent de grandes souffrrances psychiques. Sur le plan politique, le luciférisme peut aller jusqu’à prôner un certain anarchisme, l’idée de désobéissance civile ou, au contraire, se poser comme un dogme totalitaire en imposant ses idées par la force. 

 

Le luciférien dira qu’il appelle à la réflexion et à la tolérance dans une démarche philosophique personnelle. Ce qui ne colle pas avec l’idée d’anarchisme ou la tendance totalitaire du mouvement. 

Le luciférisme est une notion floue que chaque luciférien peut interpréter à sa guise. Certains considèrent le luciférisme comme une religion et place Lucifer au rang de divinité qu’ils adorent comme un ange de lumière. Pour eux, Lucifer doit libérer les hommes de la servitude de son Créateur. Or, Dieu nous veut libre et veut que l’on profite de sa Création. Dieu n’est pas un « Dieu punisseur », comme on veut nous le faire croire, ou un Dieu « vengeur » et « colérique ». Dieu est amour et Il ne veut que notre bien. Cette idée est insupportable aux lucifériens. 

D’autres placent Lucifer comme roi des Enfers, dominant même Satan. Comme Satan et Lucifer sont une même et unique entité, l’un ne peut dominer l’autre. Cette pensée de Lucifer dominant Satan semble découler de la définition donnée par Collin de Plancy dans son « Dictionnaire Infernal ». En effet, Collin de Plancy nous dit : « Lucifer, nom de l’esprit qui préside à l’orient, selon l’opinion des magiciens. Lucifer était invoqué le lundi, dans un cercle au milieu duquel était son nom. Il se contentait d’une souris pour prix de ses complaisances. On le prend souvent pour le roi des enfers, et, selon quelques démonomanes, il est supérieur à Satan. On dit qu’il est parfois facétieux, et qu’un de ses tours est de retirer les balais sur lesquels les sorcières vont au sabbat et de leur en donner sur les épaules ; ce que les sorcières de Moira, en Suède, ont attesté en 1672. Les mêmes sorcières ont affirmé qu’elles avaient vu au sabbat le même Lucifer en habit gris, avec des bas bleus et des culottes rouges, ornées de rubans. Lucifer commande aux Européens et aux Asiatiques. Il apparaît sous la forme et la figure du plus bel enfant. Quand il est en colère, il a le visage enflammé, mais cependant rien de monstrueux. C’est, selon quelques démonographes, le grand justicier des enfers. »

Personnellement, je ne suis pas d’accord avec la définition de Collin de Plancy et cela sur plusieurs points que j’ai évoqué précédemment.

D’autres encore parlent d’un luciférisme orthodoxe, qui est un mouvement différent du satanisme pur et dur, qui confond Lucifer et Satan. Dans ce mouvement, Satan est le souverain des enfers et l’adversaire de Dieu, et Lucifer est l’archange déchu qui fait figure de Prométhée. Ce courant tend à disparaître, ses adeptes se tournent vers la Wicca dans un courant qui joue sur la dualité Lucifer/Lilith. Juste pour l’information, ce courant regroupe très peu d’adeptes et a été la cible d’enquêtes parlementaires en France. Les adeptes de cette forme de Wicca reconnaissent Dieu comme étant le Créateur de toutes choses. Dieu règne dans le ciel, mais ils estiment que cette création est imparfaite et voit ce Dieu judéo-chrétien comme un tyran intransigeant qui dicte sa volonté sans laisser de liberté aux hommes. Satan est vu comme la puissance destructrice, l’adversaire de Dieu et celui qui règne aux enfers. Lucifer est le plus bel archange créé par Dieu, mais qui s’est rebellé contre son créateur. De ce fait, il vient aider les hommes à se libérer de l’oppression de Dieu en leur donnant la connaissance.

Et juste pour l’information, les sataniques ne sont pas athées. Ils croient en Dieu, mais le rejettent et préfèrent vouer un culte à Satan ou Lucifer. Leur principal but est de nous éloigner de Dieu en éteignant notre foi en Lui. Pour cela, ils prônent un athéisme de masse et diffusent des idées et croyances contraires aux oeuvres du Christ. Tout est alors inversé, et celui qui n’a pas la foi au Christ, y voit que du feu. Son âme s’éteint petit à petit, et il devient comme un zombi parmi les hommes. Combien sont ainsi lobotomisés par la télévision, par les dessins-animés, par les films d’animation, par les publicités, par l’école, par les médias de masse, par les séries télévisées et les programmes de télé-réalité ? 

 

 

Je terminerai cet article en disant que satanisme ou luciférisme, cela revient au même. Étant donné que Satan et Lucifer sont une même entité, adorer l’un c’est adorer l’autre. Le satanisme prône le rejet total et violent des enseignements christiques alors que le luciférisme veut se montrer plus doux en diffusant des idées fausses de bien être et de lumière, mais dont le but est le rejet du Christ. Au final, le résultat est le même, puisque les deux courants tendent vers un même but, qui est le rejet total de Dieu et donc l’anéantissement de toutes les valeurs humaines. Encore une fois, le diable peut prendre plusieurs visages pour mieux nous manipuler et nous berner. Le combat est spirituel. Courage, persévérance, bienveillance. 

 

 

Marie d’Ange

 

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